« Il y a 20 ans, Tenzin Gyatso, le 14e Dalaï Lama avait parlé de faire tenir 100 éléphants sur un brin d’herbe », lui disais-je, couché dans cette clairière inondée de soleil.
« Pourquoi cette métaphore ? Pour parler d’une impossible quête la vie durant ? Pour illustrer notre recherche d’absolu ? », continuais-je mon monologue...
« L’impossible exploit aurait été plus audacieux encore avec... je sais pas moi... plus de 800 éléphants sur ce brin d’herbe !, non ? On aurait pu y loger 807 pachydermes sur ce brin, tonnerre ! Là, au moins, ça frapperait les esprits ! »
Dans cet après-midi lumineux, dévolu au chant des cigales, deux taches colorées étendues dans un océan de vert, immobiles, maintenant silencieuses, scrutaient l’infini azur qui vibrait de chaleur bienveillante.
« 807 éléphants tenant sur un brin d’herbe ? Mais oui, mon pauvre ami, c’est cela ; décidément vos divagations du jour sont encore plus extravagantes que d’habitude ! Vous m’ennuyez, Charles... Tout m’ennuie ici, au milieu de rien, sous un ciel si vide. Et si vous, vous y voyez une once de poésie, eh bien... tant mieux ! Moi, j’aimerais bien rentrer. Un éléphant tenant sur un brin d’herbe... Fumiste ! »
Raymonde leva son quintal, épousseta sa longue robe pourpre et remis son chapeau à voilette sur sa bonne tête ronde ; elle avait l’air si contrariée !
« Pourquoi cette métaphore ? Pour parler d’une impossible quête la vie durant ? Pour illustrer notre recherche d’absolu ? », continuais-je mon monologue...
« L’impossible exploit aurait été plus audacieux encore avec... je sais pas moi... plus de 800 éléphants sur ce brin d’herbe !, non ? On aurait pu y loger 807 pachydermes sur ce brin, tonnerre ! Là, au moins, ça frapperait les esprits ! »
Dans cet après-midi lumineux, dévolu au chant des cigales, deux taches colorées étendues dans un océan de vert, immobiles, maintenant silencieuses, scrutaient l’infini azur qui vibrait de chaleur bienveillante.
« 807 éléphants tenant sur un brin d’herbe ? Mais oui, mon pauvre ami, c’est cela ; décidément vos divagations du jour sont encore plus extravagantes que d’habitude ! Vous m’ennuyez, Charles... Tout m’ennuie ici, au milieu de rien, sous un ciel si vide. Et si vous, vous y voyez une once de poésie, eh bien... tant mieux ! Moi, j’aimerais bien rentrer. Un éléphant tenant sur un brin d’herbe... Fumiste ! »
Raymonde leva son quintal, épousseta sa longue robe pourpre et remis son chapeau à voilette sur sa bonne tête ronde ; elle avait l’air si contrariée !
2 commentaires:
chouette
hop je n'ai pas mis le bon lien :
http://snake0644.spaces.live.com
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